DISTRIBUTION ET COMMERCE
Réduction d'impôts : 50 %
Frais de gestion : 3.95%
Durée : 6 ans + 1 Ã 2 ans
Frais d'entrée : Frais Réduit
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Caractéristiques du DISTRIBUTION ET COMMERCE
Code ISIN | FR0013064482 |
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Société de gestion | APICAP |
Valeur de la part | 10€ hors frais d'entrée |
Souscription minimale | 100 parts soit 1000,00 € hors frais d'entrée |
Date limite de souscription | 15 Juin 2017 |
Durée de blocage | 6 ans Prorogeable 2 fois 1 an |
Dépositaire | BFCM |
Valeur liquidative | Semestrielle |
Droits de garde | 0 % si les titres restent en nominatif pur chez BFCM (banque dépositaire) |
Frais récurrents de gestion et de fonctionnement | 4,10% |
FIP APICAP DISTRIBUTION ET COMMERCE
Fonds investi dans des PME issues de la Distribution et du Commerce
UNE STRATÉGIED’INVESTISSEMENT THÉMATIQUE
100% en PME dédiées à la distribution et à l’exploitation de fonds de commerce.
Choisir APICAP DISTRIBUTION ET COMMERCE, c’est diversifier son épargne sur une tendance porteuse, selon l’analyse de la société de gestion : des consommateurs de plus en plus avertis, sensibles à consommer différemment et localement. Le FIP aura notamment pour vocation d’apporter des capitaux pour financer par exemple :
COMMENT à‡A MARCHE?
APICAP DISTRIBUTION ET COMMERCE, UN FONDS QUI ACCOMPAGNE LES PME ET DIRIGEANTS
Pour trouver une source de financement adaptée à chaque PME financée, Apicap Distribution et Commerce pourra investir :
        - 40 % minimum en actions.
       - 60 % maximum en obligations convertibles.
Le FIP cherchera à constituer un portefeuille d’obligations dont le risque d’émission est jugé satisfaisant par l’équipe de gestion et proposant des rendements compris entre 7 et 12 % sur des durées de 3 à 7 ans. Ces rendements restent dépendants de la santé de l’entreprise et ne sont donc pas garantis.
POURQUOI LA DISTRIBUTION ET LE COMMERCE ?
DES ENJEUX DE DÉVELOPPEMENT MULTIPLES
- Accroître la présence en milieu urbain :
Depuis 2008, plus de 87 % des ouvertures concernent des surfaces inférieures à 1 000 m2 pour plus de proximité avec le consommateur. Les enseignes ont développé le parc de magasins de 20 % en 10 ans, une révolution qui a eu pour effet de faire grimper la densité commerciale. Et il reste de la marge : cette dernière est particulièrement faible en milieu hyper urbain où 41 % des français résident, pour seulement un tiers des points de vente.
- Multiplier les services dans et autour du point de vente :
Les commerçants ont bien compris que plus leurs établissements sont entourés de services, plus ils font recette. Historiquement, la station essence constituait le service de prédilection pour attirer le consommateur. Demain, les services associés devront être beaucoup plus diversifiés : conciergeries, gardes d’enfants, point relais colis....
- Travailler l’attractivité du magasin :
Comment faire pour donner envie au consommateur de pousser le chariot ? Selon Nielsen, « le secteur frais est la réponse, en particulier le frais traditionnel ». Le frais est « l’un des rayons les plus dynamiques depuis les années 2000 », si bien que la surface allouée tend à augmenter. Le frais occupe désormais 28 % de la surface au sol d’un point de vente contre 26 % en 2011, à la fois via le libre-service et les métiers, boucherie et poissonnerie en tête.
- Accélérer l’expansion du drive :
Aidé par la montée en puissance de l’e commerce, le drive se généralise. Un quart des supermarchés ont un click drive rattaché, ce qui ne permet de couvrir que la moitié de la population. Pour la deuxième année consécutive, les magasins accolés à un drive sont plus dynamiques, grâce à un chiffre d’affaires drive qui vient à 40 % en additionnel pour un supermarché.
- Assurer la transmission et le financement des indépendants :
Composée d’indépendants et franchisés qui se sont installés majoritairement dans les années 70/80, la Grande Distribution va voir ses équipes dirigeantes se renouveler dans les 10 ans à venir, parallèlement au souhait de certains grands acteurs de consolider le poids des indépendants. En effet, à l’heure de la proximité revenue, qui peut mieux piloter un assortiment régional que celui qui est impliqué dans la vie locale ? Qui peut mieux adapter son magasin aux attentes de ses clients ? Le commerçant indépendant.
- Construire des surfaces économes et écolos
Un magasin mieux isolé, plus économe, plus lumineux et qui s’inscrit dans son environnement. Voilà en quelques mots le principe des magasins de demain, proposant des bâtiments, des infrastructures et des meubles quasi hermétiques, permettant une économie de 25 à 30 % sur le budget énergie.
Ce sont à la fois à des enjeux d’économies énergétiques et à des enjeux environnementaux auxquels doivent désormais répondre les nouvelles surfaces commerciales.
Sources : l’ensemble des données citées du point 1 au 6 se base sur une analyse de NIELSEN du 1/10/2014.
INVESTIR DANS UN SECTEUR RÉSILIENT ET INNOVANT SELON L’ANALYSE DE LA SOCIÉTÉ DE GESTION
Si la consommation des ménages est une indication déterminante sur la santé du Commerce, même lorsqu’elle progresse moins vite, c’est sa structure qui se modifie. La part attribuée à l’alimentation perd du terrain au profit des loisirs, de l’équipement et des transports. Les désirs des ménages se déplacent vers des besoins secondaires, moins impérieux. Les commerçants ne cessent d’innover sur cette dernière décen¬nie avec les marques distributeurs, les ventes en lignes, les surfaces de proximité, les drive, le bio… faisant de ce secteur, un secteur résilient, porteur et capable de s’adapter aux nouveaux comportements de consommation.